Nous étions en communication il y a encore quelques jours avec nos correspondants des comités
civils d'Alep-Est en exil, de Maarat El Nouman et Ariha où il n'y a jamais eu de djiadistes, mais nous ne savons pas aujourd'hui où se trouvent leurs responsables, alors que les bombardements ont obligé les populations à quitter leur maison.
C'est un terrible sauve-qui-peut alors qu'il semble que plus un endroit ne soit un refuge. Tous les oliviers sont occupés...
C'est une tragédie sans nom que nous ne pouvons regarder en silence.